IRM NON-INVASIF DE LA PROSTATE : OUBLIEZ LES SONDES RECTALES

Le cancer de la prostate est le cancer le plus répandu parmi les hommes dans le monde entier et il occupe la deuxième place parmi les motifs de la mortalité cause aux maladies oncologiues. L’examen de la prostate par n’importe quelle méthode de visualisation cause d’habitude la gêne et beaucoup d’hommes se gênent ou contournent le problème de la prostate. Mais on a la solution de cet problème maladroite. Les bobines endorectales (BER) sont des choses très utiles, mais maintenant on peut passer l’IRM de la prostate sans incommodités et sans perte de la précision et de la qualité.

Les bobines endorectales – la journée d’hier ?

  Beaucoup d’établissements médicaux utilisent la BER – une bobine spéciale qui est introduite dans le rectum par l’anus, d’habitude couverte d’un ballon à air ou un préservatif. Outre un processus délicat de l’introduction, la bobine doit rester dedans jusqu’à la fin de l’examen. Il est très important aussi de se rappeler qu’il faut venir à jeun à l’IRM de la prostate et administrer un lavement, pour que l’intestin soit vide.

  Telles bobines pourraient rester le meilleur choix jusqu’aujourd’hui, si on n’introduisait pas des innovations dans l’imagerie. Par bonheur, les IRM Scanners et la téchnologie des bobines se perfectionnent et cela va mener aux changements dans le domaine de l’IRM de la prostate.

Les BER travaillent bien avec les 1.5T IRM appareils, elles sont effectives par ce qu’elles permettent de s’approcher au maximum à la prostate. Mais l’accessibilité, la qualité et les caractéristiques des 3T IRM Scanners, qui ont la proportion signal-bruit presque à deux fois plus grande peuvent devenir une meilleure solution. Du point de vue téchnique, les BER peuvent déformer la forme anatomique de la prostate et les bobines superficielles qui sont utilisées dans le 3T vont permettre aux médecins de voir l’anatomie naturelle de la prostate.

Le logiciel multiparamétral donne la possibilité d’obtenir l’information importante des paramètres-clés (images T2-pondérées, visualisation dinamique avec l’enforcement contrastant), qui sont capables d’améliorer la qualité de l’image pour une diagnose, localisation et différenciation plus précise. La plupart des travaux scientifiques ont déjà prouvé que le 3T IRM de la prostate avec les bobines pelviennes est comparable à celui 1.5T avec les BER, malgré que beaucoup d’eux ont pris en considération seulement un paramètre de visualisation. Si on prend un 3T IRM appareil avec la visualisation multiparamétrique, il a toutes les conditions de dépasser n’importe quelle solution 1.5T

Le confort du patient en premier lieu.

Les centres médicaux, avant tout, sont intéressés en confort maximal du patient, pour que son examen soit passé sans contraintes. Avec les innovations et l’accessibilité des appareils et du logiciel modernes le confort du patient va être égal à la précision diagnostique. Maintenant beaucoup des édifices passent à l’approche sans BER pour l’examen des organs du petit bassin et les résultats sont prometteurs. Peut-être, dans l’avenir nous allons jeter les lubrifiants et pourrons respirer librement sans crainte et honte si on nous enverrait à l’IRM de la prostate.

Jia, G., Shah, Z., Wei, L., & Knopp, M. (2013, May 8). Prostate cancer: Comparing the image quality of endorectal MRI at 1.5T with 3T MRI without the endorectal coil. Retrieved from https://www.auanet.org/university/abstract_detail.cfm?id=2184&meetingID=13SAN

Dr. Yuriy Sarkisov, rédacteur chez BiMedis