EXAMEN DE LA THEORIE LINEAIRE SANS SEUIL

Vous avez du être à la radiographie ou à la tomographie computérisée au moins une fois dans la vie. Plutôt c’est le médecin qui vous a dirigé, mais probablement vous avez commencer à doûter de sa compétence. Car comment un médecin, peut-il vous diriger là ou vous allez vous soumettre à l’irradiation gamma et l’irradiation par rayons X, ce que détruit vos cellules et votre ADN ? Vous ne sentez pas et ne voyez pas la radiation, mais depuis vous avez entendu ce mot vous vous imaginez le signe de danger, les accidents nucléaires et probablement le claquement fin du compteur Geiger. Est-ce qu’elle est si affreuse ?

Introduction courte en théorie linéaire sans seuil.

La théorie linéaire sans seuil (TLS (LNT en anglais)) est apparue au début du XX siècle. Le premier établissement d’état qui l’a approuvé était l’Académie nationale des sciences aux Etats-Unis en 1956. A partir de ce moment la TLS évoque beaucoup de débats. Chaques quelques années un article apparaît où on dit que cette théorie est imparfaite, elle nous embrouille, et généralement, est incorrecte. Récement l’équipe de l’Université Loyola de Chicago a essayé de réfuter cette théorie.

Pour le début, la TLS est un modèle du risque qui est utilisé par tous les organisations de la santé publique d’état et les gestions de l’énergie nucléaire pour l’instauration des principes stricts de limitation de la dose d’irradaition pour les travailleurs des installations nucléaires et pour la population. C’est-à-dire, la TLS dit que le risque du cancer est directement proportionnel à l’influence de l’irradiation, c’est pourquoi on a le mot «linéaire» dans le nom de la théorie. La deuxième partie du nom sort du raisonement simple qu’on peut faire de la progression linéaire. Si le risque du cancer est proportionnel au chargement de la dose, alors il n’y a pas de dose pas dangereuse , c’est à dire, elle est sans seuil. Ici beaucoup de savants disent qu’il est impossible de prouver que les basses doses de la radiation (< 100 mSv/an) évoquent le cancer. Nous allons rentrer à cet argument plus tard.

Comment l’irradiation évoque le cancer ?

L’irradiation ionisante est un facteur du risque pour la formation du cancer connu à tous et très bien examiné. Pour se rendre compte de la TLS il faut comprendre, comment la radiation provoque le cancer. La dose la plus basse d’irradiation ionisante c’est une particule nucléaire qui passe une cellule. Cette particule ou passe à travers la cellule et affecte la molécule ADN ou ne l’influence pas du tout. C’est la rupture de double brin de l’ADN qui est le plus dangereux. L’influence de la radiation comme le cancérogène est affirmée par les études sur les gens(épidémiologie), les plantes et les animaux (radiobiologie expérimantale), et sur les cellules (biologie cellulaire et moléculaire). Pour comprendre l’effet de la radiation sur la santé, il faut analyser l’information de ces sources.

Les théories concurrentes.

Car beaucoup de gens considère la TLS insuffisante et incapable d’évaluer d’une manière adéquate le risque de développement du cancer auprès de la dose moins de 100 mSv, on a offert et on a testé quelques théories.

La théorie de hypersensibilité affirme qu’il existe plus de risques quand on utilise les basses doses, en comparaison à la TLS. La théorie à seuil sous-entend qu’on n’a pas du risque au-dessous d’un certain niveau – une déclaration forte, comme on peut en penser. Une théorie plus extrême et controversé – l’hormèse, selon laquelle les doses basses de l’irradiation sont considérées utiles et même peuvent prévenir le cancer.

Le lecteur peut s’intéresser, est-ce qu-on a des preuves pour les autres théories ? La réponse est – oui. On a des preuves mais elles sont limitées et inobjectives ou les conclusions ne sont pas confirmées par les résultats.

Est-ce que nous avons besoin de la TLS ?

Tous les pays où il y a les agences et comissions de la sûreté nucléaire, sauf les rares exclusions, suivent cette théorie car elle est renforcée par un tas de explorations. Ces agences argumentent ces recommandations et principes directeurs par des faits solides. Même en prenant en considération que beaucoup d’eux ont conclu que le risque du cancer pendant <100mSv n’est pas prouvé, il ne voient pas le sens de changer le cheval borgne contre l’aveugle.

Alors, est-ce que cette théorie est si mauvaise ? Déjà pendant des décennies elle est la base des mesures de la sûreté nucléaire. Si elle n’existait pas, qui sait, de quoi nous aurions être couverts ; les tumeurs, les conditions dégoûtantes pour les travailleurs des usines nucléaires et probablement une quantitée inimaginable des défauts génétiques.

Les opposants de la TLS crient que dans l’électronucléaire on dépense un tas d’argent en vain. Mais, si on prend en considératoin la menace rare, mais évidente de l’accident nucléaire, comme celui de Tchernobyl ou un accident qui s’est passé récemment – à Fukushima. Les concéquences pourraient être beaucoup pires si les mesures de sûreté étaient planifiées sur quelque autre théorie. Voulez-vous renforcer votre système réfractaire et faire la révention du cancer ? Dans le monde de l’hormèse le médecin pourrait vous envoyer à Tchernobyl pour le traitement dans un «lieu de villégiature». Si on ne va pas se débarasser des déchets radioactifs, le sludge radioactif peut atteindre l’eau douce. Donc, il est rationnel d’être prudfent au maximum, n’est-ce pas?

Expérience à certifier ou réfuter la TLS.

Car nous sommes entourés toujours de la radiation de fond et des autres cancérogènes, il est presque impossible à prouver que la basse radiation comme, par exemple, la fluorographie annuelle ou le CT Scann augmentent le risque des maladies oncologiques. Il y a des recherches qui montrent ce risque, mais il y a des autres, qui le réfutent. A cause de cela en 2006, au Sommet des effects des doses ultra basses d’irradiation, les savants ont inventé une expérience idéale pour contrôler la TLS. Ils ont construit une laboratoire spéciale ou ils ont créé les conditions sans radiation pour les animaux laboratoires et cellules et ont les comparés aux groupes de contrôle qui vivaient dans les conditions de la radiation naturelle de fond. 

TLS – information à réfléchir.

La théorie linéaire sans seuil – c’est pas une loi, mais une théorie. Peut-elle être incorrecte en ce qui concerne les effets du chargement de la basse dose ? Bien sûr, car c’est la théorie, quand même. Mais elle est simple et précise pendant une dose plus de 100 mSv et a un consensus scientifique commun. L’examen radiologique ou CT Scann ne doit pas évoquer la peur s’ils ont la valeur diagnostique. Ceux, qui argumentent que la TLS exige des dépenses abusives, fallait économiser sur autre chose, ce que serait, peut-être, plus pratique. Nous pouvons débattre un jour entier sur cela, mais, finalement, on croie que notre priorité doit être le maintien de l’irradiation au niveau le plus minimum possible.

Dr. Yuriy Sarkisov, rédacteur chez BiMedis