LE NOUVEAU DISPOSITIF PEUT CREER DES ORGANS ENTIERS PARTANT DE MICROTISSUS

Pendant des années les savants essayaient d’inventer une nouvelle méthode de production des tissus et organs en partant des matières premières cellulaires. Pas longtemps on a eu une percée sur cette direction à l’aide des téchnologies d’impression 3D, mais celle des tissus biologiques a ses défauts. Elle est capable d’imprimer seulement des tôles minces du tissu vivant, sans vascularisation et n’est pas capable de former beaucoup de couches du tissu. Avec la mise en exploitation de l’impression 3D, les possibilités téchnologiques augmentent chaque année, mais aucune d’elles ne peuvent pas créer des organs entiers.

Les savants de l’Université Brown ont élaboré le dispositif Bio-Pick, Place and Perfuse – BioP3. Le concepteur principal, Jeffrey Morgan, et son équipe ont nventé le BioP3 comme une usine minuscule pour création des organs, capable de mettre les couches de microtissus, qui sont les unités de structure des tissus fonctionnels. L’innovation ne finit pas sur ce stage, car l’équipe estime que leur appareil a le potentiel de monter des organs entiers.

Morgan est sûr, que «en comparaison avec l’impression 3D, qui fait un nombre pas suffisant des cellules, notre approche est beaucoup plus vite à cause des unités de structure montées par avance, avec des formes fonctionnelles et grâce à ce que la quantité des cellules est plusieure à mille de fois par unité».

L’équipe a montré, qu’on peut construire BioP3 à l’aide des pièces de rechange peu chères, qu’on peut acheter dans n’importe quel magasin de bricolage, et cela ne va pas vous coûter plus de $200. Les parties principales du dispositif se composent d’une boîte transparente avec deux sections, une – pour la conservation des microtissus et l’autre – pour le montage et assemblage des unités de structure. L’embout avec un bec perméable de membrane, donc, s’utilise par l’opérateur pour se coller vacuum manuellement aux microtissus pour les transporter sans dégâts sur la plate-forme de travail. Le système des petits tubes livre un courant de liquide permanent, perfusionant les substances nutritives et emmenant les déchets, remplacent le système vasculaire. Les microtissus réunis avec le temps adhérent un à autre, formant une structure biologique unique.

Nous commençons à peine à comprendre, quels tissus et quels organs pouvons-nous former et comment on peut élaborer les réseaux vasculaires en limites de ces structures.

L’équipe a accompli quelques projets d’essai, y compris une structure de 16 cercles et 4 gâteaux de miel. Malgré que ces réalisations sont pas comparables à la création d’un organ entier, l’équipe considère qu’après l’automatisation du processus de mise des couches en avenir, on pourra construire un organ entier. Au jour d’aujourd’hui l’équipe a fait des structures avec des différentes types de cellules : les cellules de l’hépatome H35, les cellules de tumeur de l’ovaire KGN et les cellules du cancer du sein MCF-7.

Car la nouveauté de cet approche est sans précédent, l’équipe a reçu de la National Science Foundation une bourse de recherche de $1.4 millions. La bourse va être utilisée pour l’automatisation du processus de la mise de couchement pour l’accélération de la production.

Selon la statistique, plus de 100 milles des gens aux Etats-Unis sont en queue pour la transplantation des organs, dont la plupart peut ne pas en arriver au jour de transplantation. Si ce dispositif nouveau va pouvoir créer les organs de la matière premières, on pourra sauver les d’un grand nombre des gens, qui ont besoin de la transplantation.

Dr. Yuriy Sarkisov, rédacteur chez BiMedis